Après l’effervescence des préparatifs de ces derniers jours, c’est recueillis et joyeux que les frères Franciscains du séminaire ont accueillis les autres séminaristes présents dans le secteur de Jérusalem : les séminaristes salésiens installés au centre Ratisbonne, les séminaristes des père Missionnaires d’Afrique (plus connus sous le nom de pères Blancs) résidant à Sainte-Anne, les séminaristes des Pères de Betharram – étudiant à Bethléem - et si les séminaristes du patriarcat latin – situés à Beit Jala – s’étaient excusés, l’événement fut la présence des séminaristes arméniens orthodoxes résidant à Jérusalem non loin de la porte de Sion.
C’est à l’occasion des premières vêpres de la solennité de saint François d’Assise que tous se retrouvaient. Si cette fête est celle de toute la famille franciscaine, elle revêt un caractère particulier pour les jeunes religieux de l’Ordre des frères Mineurs puisque, durant l’office, ils ont renouvelé leurs vœux temporaires dans une église pleine de fidèles, comme ils le font chaque année jusqu’à la profession solennelle.
Ce sont donc eux les plus jeunes qui invitent pour les premières vêpres et pour le repas de fête qui a suivi dans une des cours du couvent Saint-Sauveur. Un repas qui s’est prolongé par une démonstration de joie de tous ces jeunes gens qui marchent à la suite du Seigneur chacun suivant son charisme. Chants et danses se sont enchaînés pour la joie de tous.
Pour la fête du jour, le caractère a été plus solennel et la joie plus intérieure. À la messe, c’est, suivant la tradition ([1]), un père Dominicain, le père Guy Tardivy, supérieur de la communauté qui réside au couvent Saint-Étienne, dite de l’École Biblique, qui a présidé et prêché.
Une foule très nombreuse s’était unie à la joie des franciscains, membres de la communauté paroissiale, religieux et religieuses de la ville et des environs, mais aussi à l’invitation du Custode de Terre Sainte les représentants des Églises catholiques de Terre Sainte (Nonciature Apostolique, Patriarcat latin, Grecs catholiques, Arméniens catholiques, Syriens catholiques, Maronites) qui avaient pu se libérer. Étaient invités également tous les Consuls Généraux présents à Jérusalem (Amérique, Belgique, Espagne, France, Grèce, Italie, Royaume Uni, Suède, Turquie).
Après un rafraîchissement offert à toute l’assemblée, les frères Franciscains et leurs invités se sont donc retrouvés pour un déjeuner pris en commun dans le réfectoire de Saint-Sauveur.
Le Petit Pauvre d’Assise, grand ouvrier de Paix, a dû se réjouir du haut des Cieux de voir ses fils s’inscrire dans la tradition qui lui était si chère.
MAB
[1] La tradition veut que ce soit un dominicain qui préside la saint François et un franciscain la saint Dominique.
C’est à l’occasion des premières vêpres de la solennité de saint François d’Assise que tous se retrouvaient. Si cette fête est celle de toute la famille franciscaine, elle revêt un caractère particulier pour les jeunes religieux de l’Ordre des frères Mineurs puisque, durant l’office, ils ont renouvelé leurs vœux temporaires dans une église pleine de fidèles, comme ils le font chaque année jusqu’à la profession solennelle.
Ce sont donc eux les plus jeunes qui invitent pour les premières vêpres et pour le repas de fête qui a suivi dans une des cours du couvent Saint-Sauveur. Un repas qui s’est prolongé par une démonstration de joie de tous ces jeunes gens qui marchent à la suite du Seigneur chacun suivant son charisme. Chants et danses se sont enchaînés pour la joie de tous.
Pour la fête du jour, le caractère a été plus solennel et la joie plus intérieure. À la messe, c’est, suivant la tradition ([1]), un père Dominicain, le père Guy Tardivy, supérieur de la communauté qui réside au couvent Saint-Étienne, dite de l’École Biblique, qui a présidé et prêché.
Une foule très nombreuse s’était unie à la joie des franciscains, membres de la communauté paroissiale, religieux et religieuses de la ville et des environs, mais aussi à l’invitation du Custode de Terre Sainte les représentants des Églises catholiques de Terre Sainte (Nonciature Apostolique, Patriarcat latin, Grecs catholiques, Arméniens catholiques, Syriens catholiques, Maronites) qui avaient pu se libérer. Étaient invités également tous les Consuls Généraux présents à Jérusalem (Amérique, Belgique, Espagne, France, Grèce, Italie, Royaume Uni, Suède, Turquie).
Après un rafraîchissement offert à toute l’assemblée, les frères Franciscains et leurs invités se sont donc retrouvés pour un déjeuner pris en commun dans le réfectoire de Saint-Sauveur.
Le Petit Pauvre d’Assise, grand ouvrier de Paix, a dû se réjouir du haut des Cieux de voir ses fils s’inscrire dans la tradition qui lui était si chère.
MAB
[1] La tradition veut que ce soit un dominicain qui préside la saint François et un franciscain la saint Dominique.