Le temps pascal est proche de sa fin. La joie pascale se prolonge durant des semaines pour s’approfondir dans les cœurs et devenir une expérience de Résurrection. Deux fêtes vont terminer ce temps, la fête de l’Ascension et le grand dimanche de la Pentecôte.
Le mercredi 12 mai, jour de la Vigile, nous sommes montés à la chapelle de l’Ascension au sommet du Mont des Oliviers. Cette année2010 le calendrier grégorien des catholiques et le calendrier julien des orthodoxes coïncident. Ils ont fêté Pâques le même jour. Ils solennisent l’Ascension le même jour. C’est pourquoi l’espace interne de l’Édicule est occupé par les tentes des franciscains, des grecs-orthodoxes, des coptes, des syriens et des arméniens. Tout religieux ou laïc qui participe au pèlerinage a la curiosité de visiter les tentes des autres rites, chacune ayant une décoration particulière et une façon propre de présenter l’autel. Mais la tente des franciscains n’a pas d’autel, parce qu’ils célèbrent l’Eucharistie dans l’Édicule.
C’est une occasion, comme à Pâques, de constater la convivialité des divers Rites à travers leurs différences qui soulignent l’aspect positif des diverses façons de célébrer la foi de tous dans le Christ ressuscité et monté au ciel. Cette même foi nous unit.
Ce mercredi 12 mai, lors de la procession autour de l’Édicule qui suivait le chant des Vêpres par les franciscains, un cerf-volant volant dans le ciel accompagnait la procession. C’étaient trois enfants musulmans qui, avec maestria le faisaient voler en tournant autour de l’Édicule et qui le reprirent en mains à la fin de la procession. C’était une sympathique participation musulmane à l’inauguration de la solennité de l’Ascension;. Ce fut plus tard la prière des Complies.
Le jeudi 13 mai, durant la nuit eut lieu l’Office solennel de la Vigile. Ensuite à partir de minuit des messes se sont succédé jusqu’à la grande célébration eucharistique de 5 heures trente, présidée par le frère Artemio Vítores, Vicaire custodial.
C’est ainsi qu’a été célébré ce jour de fête sur le Lieu même qui rappelle l’Ascension du Seigneur, dans une prière d’adoration et d’action de grâces. Nous avons quitté le Mont de l’Ascension et sommes revenus en vieille ville avec une grand.
Irene Boschetti
Le mercredi 12 mai, jour de la Vigile, nous sommes montés à la chapelle de l’Ascension au sommet du Mont des Oliviers. Cette année2010 le calendrier grégorien des catholiques et le calendrier julien des orthodoxes coïncident. Ils ont fêté Pâques le même jour. Ils solennisent l’Ascension le même jour. C’est pourquoi l’espace interne de l’Édicule est occupé par les tentes des franciscains, des grecs-orthodoxes, des coptes, des syriens et des arméniens. Tout religieux ou laïc qui participe au pèlerinage a la curiosité de visiter les tentes des autres rites, chacune ayant une décoration particulière et une façon propre de présenter l’autel. Mais la tente des franciscains n’a pas d’autel, parce qu’ils célèbrent l’Eucharistie dans l’Édicule.
C’est une occasion, comme à Pâques, de constater la convivialité des divers Rites à travers leurs différences qui soulignent l’aspect positif des diverses façons de célébrer la foi de tous dans le Christ ressuscité et monté au ciel. Cette même foi nous unit.
Ce mercredi 12 mai, lors de la procession autour de l’Édicule qui suivait le chant des Vêpres par les franciscains, un cerf-volant volant dans le ciel accompagnait la procession. C’étaient trois enfants musulmans qui, avec maestria le faisaient voler en tournant autour de l’Édicule et qui le reprirent en mains à la fin de la procession. C’était une sympathique participation musulmane à l’inauguration de la solennité de l’Ascension;. Ce fut plus tard la prière des Complies.
Le jeudi 13 mai, durant la nuit eut lieu l’Office solennel de la Vigile. Ensuite à partir de minuit des messes se sont succédé jusqu’à la grande célébration eucharistique de 5 heures trente, présidée par le frère Artemio Vítores, Vicaire custodial.
C’est ainsi qu’a été célébré ce jour de fête sur le Lieu même qui rappelle l’Ascension du Seigneur, dans une prière d’adoration et d’action de grâces. Nous avons quitté le Mont de l’Ascension et sommes revenus en vieille ville avec une grand.
Irene Boschetti