« Le jour de la Pentecôte étant arrivé, ils se trouvaient tous ensemble dans un même lieu, quand, tout à coup, vint du ciel un bruit tel que celui d'un violent coup de vent, qui remplit toute la maison où ils se tenaient. Ils virent apparaître des langues qu'on eût dites de feu ; elles se partageaient, et il s'en posa une sur chacun d'eux ».
Dans les Actes des Apôtres, c’est ainsi qu’est narrée la descente de l’Esprit Saint sur les disciples réunis au Cénacle, le cinquantième jour après la Résurrection. En ce même lieu, deux mille ans après, on fait mémoire du don de l’Esprit qui donna aux Apôtres de Jésus le pouvoir d’exprimer la Bonne Nouvelle de manière à ce que tous puissent la comprendre.
« Il y avait, demeurant à Jérusalem, des hommes dévots de toutes les nations qui sont sous le ciel. ». Les pèlerins qui se trouvaient dans la salle du Cénacle en cet après-midi de Dimanche de la Pentecôte arrivaient eux aussi de nombreuses nations.
Le lieu que la tradition identifie comme celui de la Dernière Cène et du Don de l’Esprit Saint, est aujourd’hui de propriété juive. Ouvert à la prière et à la visite quotidiennement, il peut être le lieu de célébrations et d’offices religieux seulement deux fois l’an : le Jeudi Saint et le jour de la Pentecôte. Dimanche, le Père Custode – le Frère Pierbattista Pizzaballa – a donc conduit la procession des franciscains et présidé au Cénacle la récitation des Vêpres. De nombreuses langues différentes – autant que de présents – se sont mêlées et accompagnées l’une l’autre à l’occasion de la récitation à haute voix du Notre Père.
Durant toute la journée du Dimanche, se sont succédées les Messes célébrées en différentes langues depuis le début de matinée au « Petit Cénacle », l’église du couvent franciscain construite à quelques mètres du Cénacle.
Texte de Serena Picariello
Photographies de Mab
Dans les Actes des Apôtres, c’est ainsi qu’est narrée la descente de l’Esprit Saint sur les disciples réunis au Cénacle, le cinquantième jour après la Résurrection. En ce même lieu, deux mille ans après, on fait mémoire du don de l’Esprit qui donna aux Apôtres de Jésus le pouvoir d’exprimer la Bonne Nouvelle de manière à ce que tous puissent la comprendre.
« Il y avait, demeurant à Jérusalem, des hommes dévots de toutes les nations qui sont sous le ciel. ». Les pèlerins qui se trouvaient dans la salle du Cénacle en cet après-midi de Dimanche de la Pentecôte arrivaient eux aussi de nombreuses nations.
Le lieu que la tradition identifie comme celui de la Dernière Cène et du Don de l’Esprit Saint, est aujourd’hui de propriété juive. Ouvert à la prière et à la visite quotidiennement, il peut être le lieu de célébrations et d’offices religieux seulement deux fois l’an : le Jeudi Saint et le jour de la Pentecôte. Dimanche, le Père Custode – le Frère Pierbattista Pizzaballa – a donc conduit la procession des franciscains et présidé au Cénacle la récitation des Vêpres. De nombreuses langues différentes – autant que de présents – se sont mêlées et accompagnées l’une l’autre à l’occasion de la récitation à haute voix du Notre Père.
Durant toute la journée du Dimanche, se sont succédées les Messes célébrées en différentes langues depuis le début de matinée au « Petit Cénacle », l’église du couvent franciscain construite à quelques mètres du Cénacle.
Texte de Serena Picariello
Photographies de Mab