Ouverture de l’année académique des universités catholiques | Custodia Terrae Sanctae

Ouverture de l’année académique des universités catholiques

Lundi 6 octobre une messe a été célébrée dans l'église Saint-Sauveur à Jérusalem, pour l'ouverture de l'année académique du Studium Biblicum Franciscanum, du Studium Theologicum Hierosolymitanum et du Studium Theologicum Salesianum.

La célébration a été présidée par don Pier Giorgio Gianazza, vice-provincial des Salésiens de la Province du Moyen-Orient. Ont participés des professeurs, des étudiants et le personnel des trois institutions d'étude liées aux Franciscains et aux Salésiens.

Dans son homélie, le père Gianazza a repris les paroles du Pape François, qui, lors d’une messe à Sainte Marthe le 2 septembre a déclaré: «Vous pouvez avoir cinq diplômes en théologie, mais ne pas avoir l'Esprit de Dieu! Ce qui donne l’autorité, ce qui te donnes ton identité c’est l'Esprit Saint, l'onction de l'Esprit Saint ».




La messe était précisément celle de l'Esprit Saint, et faisait mémoire des paroles de Jésus: « L'Esprit Saint, que le Père enverra en mon Nom, lui, vous enseignera toutes choses. »

D. PIER GIORGIO GIANAZZA, sdb
Vice provincial de la Province du Moyen-Orient
« Nous espérons vraiment que cette année sera sous la lumière de l'Esprit Saint, parce c’est Lui le maître en théologie. Il est celui qui a conduit Jésus pour qu’il grandisse en sagesse et en grâce, en taille et en maturité. Nous aussi nous devons grandir dans cette théologie, en stature, en grâce et en sagesse, celles dictées par l'Esprit. »

Fr. MASSIMO PAZZINI, OFM
Doyen du Studium Biblicum Franciscanum
« Nous espérons voir nos désir réalisés et qu’ils se concrétisent par une année académique fructueuse. Il faut noter que pour la première fois cette année la messe inaugurale a été présidée par un prêtre salésien qui est une autorité locale, le vice-provincial pour le Moyen-Orient, venu représenter ceux qui travaillent avec nous ici, dans les écoles salésiennes. C’est aussi quelqu’un d’important pour une autre raison: Don Gianazza a toujours travaillé et étudié des sujets qui nous sont chers et que nous aussi nous étudions: la littérature arabe chrétienne depuis le Moyen Age. »