Aujourd’hui vous est né un sauveur dans la ville de David. Il est le Messie, le Seigneur. Et voilà le signe qui vous est donné, vous trouverez un nouveau né emmailloté et couché dans une mangeoire.
(Luc 2, 11-12)
Chers frères et sœurs,
Aujourd’hui comme hier, le Seigneur bouscule nos attentes.
Nous attendions un Seigneur, voici un nouveau né.
Nous attendions la gloire du Messie, voici une mangeoire pour trône.
Nous attendions la paix, voici un monde déchiré, des Eglises divisées, et nos cœurs partagés…
Alors, laissons cette parole raisonner en nous : aujourd’hui, en cette nuit de noël, nous est né un sauveur, il est le Messie, le Seigneur, le prince de la paix…
N’en doutons pas, cette parole se réalise aujourd’hui,
car c’est aujourd’hui que le Verbe se fait chair.
Et c’est à nous qu’il appartient de le faire grandir en nos cœurs.
Qui est ma mère, mes frères ? Celui qui écoute la parole de Dieu et la met en pratique. (Lc 8, 19-21)
Etre le père et la mère de Jésus, sauveur, c’est à nous aujourd’hui qu’incombe cette responsabilité.
C’est à nous qu’il appartient de construire son royaume de paix,
ici sur cette Terre Sainte déchirée, comme partout dans le monde…
Nous pouvons agir de sorte que chaque jour grandisse en nous la Parole faite chair jusqu’à atteindre la plénitude de la stature du Christ (Eph 4, 13).
La tache est-elle trop difficile ?
La philosophe et mystique Simone Weil a écrit : « Aimons le pays d’ici-bas. Il est réel: il offre de la résistance à l’amour ».
Ne nous effrayons ni de nos propres résistances
ni de celles que nous rencontrons autour de nous
elles sont signes de notre humanité
celle-là même que par amour, la nuit de noël, le Messie est venu transfigurer.
Sur cette Terre Sainte, comme dans chacune de vos terres sacrées, devenons vraiment gardiens du trésor qui nous est offert de vivre et de faire vivre.
Aujourd’hui nous est né un Sauveur, éclatez en cris de joie, car le Seigneur a consolé son peuple. Le Seigneur a montré la force de son bras aux yeux de toutes les nations. Et d’un bout à l’autre de la terre elles verront le salut de notre Dieu. (Is 52, 10).
Gardiens d’une telle espérance, nous Franciscains de Terre Sainte, nous vous souhaitons de tout cœur à tous, très chers frères et sœurs, un joyeux et saint Noël !
(Luc 2, 11-12)
Chers frères et sœurs,
Aujourd’hui comme hier, le Seigneur bouscule nos attentes.
Nous attendions un Seigneur, voici un nouveau né.
Nous attendions la gloire du Messie, voici une mangeoire pour trône.
Nous attendions la paix, voici un monde déchiré, des Eglises divisées, et nos cœurs partagés…
Alors, laissons cette parole raisonner en nous : aujourd’hui, en cette nuit de noël, nous est né un sauveur, il est le Messie, le Seigneur, le prince de la paix…
N’en doutons pas, cette parole se réalise aujourd’hui,
car c’est aujourd’hui que le Verbe se fait chair.
Et c’est à nous qu’il appartient de le faire grandir en nos cœurs.
Qui est ma mère, mes frères ? Celui qui écoute la parole de Dieu et la met en pratique. (Lc 8, 19-21)
Etre le père et la mère de Jésus, sauveur, c’est à nous aujourd’hui qu’incombe cette responsabilité.
C’est à nous qu’il appartient de construire son royaume de paix,
ici sur cette Terre Sainte déchirée, comme partout dans le monde…
Nous pouvons agir de sorte que chaque jour grandisse en nous la Parole faite chair jusqu’à atteindre la plénitude de la stature du Christ (Eph 4, 13).
La tache est-elle trop difficile ?
La philosophe et mystique Simone Weil a écrit : « Aimons le pays d’ici-bas. Il est réel: il offre de la résistance à l’amour ».
Ne nous effrayons ni de nos propres résistances
ni de celles que nous rencontrons autour de nous
elles sont signes de notre humanité
celle-là même que par amour, la nuit de noël, le Messie est venu transfigurer.
Sur cette Terre Sainte, comme dans chacune de vos terres sacrées, devenons vraiment gardiens du trésor qui nous est offert de vivre et de faire vivre.
Aujourd’hui nous est né un Sauveur, éclatez en cris de joie, car le Seigneur a consolé son peuple. Le Seigneur a montré la force de son bras aux yeux de toutes les nations. Et d’un bout à l’autre de la terre elles verront le salut de notre Dieu. (Is 52, 10).
Gardiens d’une telle espérance, nous Franciscains de Terre Sainte, nous vous souhaitons de tout cœur à tous, très chers frères et sœurs, un joyeux et saint Noël !