Comme le veulent les us et coutumes de la Custodie, c’est le vicaire Custodial, le père Artémio Vitores, qui a présidé la messe solennelle célébrée à l’autel du calvaire le dernier vendredi avant la Semaine Sainte en l’honneur de Notre Dame des Douleurs.
Avant la réforme liturgique de Vatican II, l’Eglise universelle célébrait une fête solennelle de Notre-Dame des Douleurs le vendredi qui précède le dimanche des Rameaux. Cette fête avait été instituée par Benoît XIII en 1727. [1]
Vatican II a supprimé toutes les fêtes qui existaient en double. A Jérusalem, les fêtes les plus solennelles sont précisément celles qui ont été supprimées, c’est donc grâce au status quo que cette messe, à cette heure plus tardive, 8h00, est maintenue. A noter que tous les vendredis [2] la messe de 6 h 30 dans la basilique est célébrée solennellement et chantée au Calvaire, soit sur l’autel de la Vierge des Douleurs , soit sur l’autel de la Crucifixion.
Lors de cette célébration, le père Artémio a, dans son homélie, invité l’assistance, assez nombreuse et recueillie, à regarder la Vierge Marie comme exemple, pour apprendre à se tenir, comme elle, debout au pied de la Croix en croyants. Il a aussi renouvelé à la foule l’invitation du Christ lui-même à la recevoir pour Mère, une mère en qui nous pouvons mettre toute notre confiance.
Tandis que la Semaine Sainte va nous tourner vers le Christ, ce vendredi au Calvaire, il était bon de regarder vers la Vierge Marie, elle qui a su « conserver toutes ces choses en son cœur et les méditer ».
MAB
[1] La fête de Notre-Dame des Douleurs de septembre est plus tardive puisqu’elle a été instituée en 1814 par Pie VII.
[2] Le status quo définit que les frères sont autorisés à célébrer tous les jours une messe chantée au Tombeau ou, une fois par semaine, au Calvaire. C’est le Vendredi qui a été choisi par les franciscains pour célébrer au Calvaire, néanmoins, si une fête particulière tombe un vendredi, le jour de célébration de la messe au calvaire peut être reporté.
Avant la réforme liturgique de Vatican II, l’Eglise universelle célébrait une fête solennelle de Notre-Dame des Douleurs le vendredi qui précède le dimanche des Rameaux. Cette fête avait été instituée par Benoît XIII en 1727. [1]
Vatican II a supprimé toutes les fêtes qui existaient en double. A Jérusalem, les fêtes les plus solennelles sont précisément celles qui ont été supprimées, c’est donc grâce au status quo que cette messe, à cette heure plus tardive, 8h00, est maintenue. A noter que tous les vendredis [2] la messe de 6 h 30 dans la basilique est célébrée solennellement et chantée au Calvaire, soit sur l’autel de la Vierge des Douleurs , soit sur l’autel de la Crucifixion.
Lors de cette célébration, le père Artémio a, dans son homélie, invité l’assistance, assez nombreuse et recueillie, à regarder la Vierge Marie comme exemple, pour apprendre à se tenir, comme elle, debout au pied de la Croix en croyants. Il a aussi renouvelé à la foule l’invitation du Christ lui-même à la recevoir pour Mère, une mère en qui nous pouvons mettre toute notre confiance.
Tandis que la Semaine Sainte va nous tourner vers le Christ, ce vendredi au Calvaire, il était bon de regarder vers la Vierge Marie, elle qui a su « conserver toutes ces choses en son cœur et les méditer ».
MAB
[1] La fête de Notre-Dame des Douleurs de septembre est plus tardive puisqu’elle a été instituée en 1814 par Pie VII.
[2] Le status quo définit que les frères sont autorisés à célébrer tous les jours une messe chantée au Tombeau ou, une fois par semaine, au Calvaire. C’est le Vendredi qui a été choisi par les franciscains pour célébrer au Calvaire, néanmoins, si une fête particulière tombe un vendredi, le jour de célébration de la messe au calvaire peut être reporté.