Le premier Dimanche de Juillet on célèbre solennellement, dans la Basilique de Gethsémani, le Précieux Sang du Christ. Avant la Réforme Liturgique issue du Concile Vatican II, l’Eglise Romaine fêtait, dans deux journées distinctes, en Juin le Corps du Christ et en Juillet le Sang du Christ. La fête du Saint Sacrement est devenue dès lors «Solennité du Corps et du Sang du Christ », grâce à une unification pleine de sagesse.
Mais la solennité du Précieux Sang à survécu à Jérusalem pour la Basilique de Gethsémani, parce que l’évangile de Luc dit expressément que sa « sueur devint comme des gouttes de sang qui tombaient à terre » sur les rochers du jardin de Gethsémani (Luc 22, 39-46). Or l’ici, la localisation des faits de l’évangile a toujours été la base de la pitié des pèlerins de Terre Sainte.
Dans l’homélie le Père Custode a souligné que le sang des sacrifices, selon le Livre de l’Exode (12, 21-27), n’est pas seulement signe de souffrance, de violence, mais de don, d’Alliance, de vie, de gratuité. Le Sang du Christ est signe de gratuité suprême, de son sacrifice suprême accepté pour le salut des hommes.
MM
Mais la solennité du Précieux Sang à survécu à Jérusalem pour la Basilique de Gethsémani, parce que l’évangile de Luc dit expressément que sa « sueur devint comme des gouttes de sang qui tombaient à terre » sur les rochers du jardin de Gethsémani (Luc 22, 39-46). Or l’ici, la localisation des faits de l’évangile a toujours été la base de la pitié des pèlerins de Terre Sainte.
Dans l’homélie le Père Custode a souligné que le sang des sacrifices, selon le Livre de l’Exode (12, 21-27), n’est pas seulement signe de souffrance, de violence, mais de don, d’Alliance, de vie, de gratuité. Le Sang du Christ est signe de gratuité suprême, de son sacrifice suprême accepté pour le salut des hommes.
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