Samedi 26 juin. Il s’agit de la partie la plus ancienne de l’église. Du XVIIIe siècle à maintenant des décorations s’y étaient maintenues et superposées. Mais tous les ornements de l’autel et le bel encadrement d’argent qui entoure la statue de la Vierge avaient noirci par suite de l’allumage incessant des bougies.
Maintenant la chapelle, dont l’un des murs est byzantin et l’autre mur ‘croisé’, se fait voir avec toute la majesté de son histoire et avec la beauté simple de sa structure originelle, qui lui a été restituée.
Le frère Artemio Vittores, Vicaire Custodial, a présidé les Vêpres, puis a fait un bref et profond discours sur le titre de l’autel de cette chapelle de la Madone « Tota pulchra es, Maria ».
La statue, d’un art catalan du début du XIXe siècle, est très belle. La compétence et la patience du Maître Maarek Wesolowski, restaurateur de cracovie, se manifestent dans la restauration de cette chapelle et de sa statue. On constate quel beau travail il a réalisé en mettant en lumière la fine décoration de l’habit de la Sainte Vierge : la statue semble enveloppée d’un voile et le mouvement des flammes des bougies le fait briller. Les angelots semblent prêts à prendre leur vol. Sous l’autel la statue de l’Enfant Jésus repose sur un berceau en argent.
Plusieurs frères de Saint Sauveur et d’Aïn Karem ainsi que le supérieur et les sœurs d’Emmaüs, et quelques amis sont venus participer à la fête. Depuis novembre 2009 le plafond de l’église a été restaurée et a une allure lumineuse.
Sur le mur, il reste un espace vide. Qu’y mettra-t-on ? Saint François qui crée la crèche à Greccio ? ou les Saints Innocents ? ou Saint Jérôme dont la Grotte est toute proche ? Il y a diverses manières d’évoquer la naissance du Seigneur.
Ensuite ce fut le souper dans le réfectoire du couvent. Et l’on garde une admiration pour le beau travail de la restauration de la chapelle de la Sainte Mère de Jésus.
V. Vestrelli
Maintenant la chapelle, dont l’un des murs est byzantin et l’autre mur ‘croisé’, se fait voir avec toute la majesté de son histoire et avec la beauté simple de sa structure originelle, qui lui a été restituée.
Le frère Artemio Vittores, Vicaire Custodial, a présidé les Vêpres, puis a fait un bref et profond discours sur le titre de l’autel de cette chapelle de la Madone « Tota pulchra es, Maria ».
La statue, d’un art catalan du début du XIXe siècle, est très belle. La compétence et la patience du Maître Maarek Wesolowski, restaurateur de cracovie, se manifestent dans la restauration de cette chapelle et de sa statue. On constate quel beau travail il a réalisé en mettant en lumière la fine décoration de l’habit de la Sainte Vierge : la statue semble enveloppée d’un voile et le mouvement des flammes des bougies le fait briller. Les angelots semblent prêts à prendre leur vol. Sous l’autel la statue de l’Enfant Jésus repose sur un berceau en argent.
Plusieurs frères de Saint Sauveur et d’Aïn Karem ainsi que le supérieur et les sœurs d’Emmaüs, et quelques amis sont venus participer à la fête. Depuis novembre 2009 le plafond de l’église a été restaurée et a une allure lumineuse.
Sur le mur, il reste un espace vide. Qu’y mettra-t-on ? Saint François qui crée la crèche à Greccio ? ou les Saints Innocents ? ou Saint Jérôme dont la Grotte est toute proche ? Il y a diverses manières d’évoquer la naissance du Seigneur.
Ensuite ce fut le souper dans le réfectoire du couvent. Et l’on garde une admiration pour le beau travail de la restauration de la chapelle de la Sainte Mère de Jésus.
V. Vestrelli