Dimanche 13 novembre, l’Église de Terre Sainte a célébré la bénédiction abbatiale de Dom René Hascoët, cinquième abbé de la communauté des moines trappistes de Latroun.
C’est des mains de Mgr Giacinto Boulos Marcuzzo que dom René reçut les insignes de sa charge : la Règle de saint Benoît, la mitre, l’anneau et la crosse de pasteur.
« Cette bénédiction est publique, a dit Mgr Marcuzzo dans son adresse au nouvel abbé, afin de montrer combien le moine est enraciné dans l’Église universelle et dans l’Église locale. C'est pour cela que c’est l’évêque qui se déplace. »
En plus de Mgr Marcuzzo, le Nonce apostolique Mgr Antonio Franco et deux évêques d’Églises orientales catholiques avaient fait le déplacement Mgr Paul Sayyah des maronites, et Mgr Pierre Melki des syriaques catholiques. Avaient également fait le déplacement de France, les pères Abbé de Sept-Fons, abbaye fondatrice de Latroun, de Timadeuc (France) où est entré dom René en 1974 avant d’être envoyé à Latroun en 1992 et de Bricquebec.
Mais le père Abbé et sa communauté étaient aussi entourés de l’affection et des prières d’autres communautés monastiques de Terre Sainte et spécialement celles qui vivent de la règle de saint Benoît ; les olivétains d’Abu Gosh, les moines de la Dormition, les bénédictines du Mont des Oliviers.
De nombreux religieux voisins s’étaient également unis à cette messe d’Action de grâces.
« Nous nous sentons partie intégrante de l’Église locale, a tenu à souligner le père Abbé à l’issue de la célébration, même si notre vocation nous met à part. Le monastère dit saint Benoît ne doit pas être une église isolée, mais au cœur de l’Église. Et c’est bien ce que nous voulons être, au cœur de cette Église que nous aimons, un foyer de prière. »
Les quatorze moines de Latroun sont non seulement des hommes de prière, mais aussi des hommes de labeur. Dans la plus pure tradition cistercienne, les frères vivent du travail de leur main : miel, huile d’olive et le réputé domaine viticole de Latroun.
Les Trappistes sont des moines cisterciens, appartenant à la grande famille monastique qui se réfèrent à la Règle de saint Benoit dont ils forment une branche réformée.
Texte et photos de MAB
C’est des mains de Mgr Giacinto Boulos Marcuzzo que dom René reçut les insignes de sa charge : la Règle de saint Benoît, la mitre, l’anneau et la crosse de pasteur.
« Cette bénédiction est publique, a dit Mgr Marcuzzo dans son adresse au nouvel abbé, afin de montrer combien le moine est enraciné dans l’Église universelle et dans l’Église locale. C'est pour cela que c’est l’évêque qui se déplace. »
En plus de Mgr Marcuzzo, le Nonce apostolique Mgr Antonio Franco et deux évêques d’Églises orientales catholiques avaient fait le déplacement Mgr Paul Sayyah des maronites, et Mgr Pierre Melki des syriaques catholiques. Avaient également fait le déplacement de France, les pères Abbé de Sept-Fons, abbaye fondatrice de Latroun, de Timadeuc (France) où est entré dom René en 1974 avant d’être envoyé à Latroun en 1992 et de Bricquebec.
Mais le père Abbé et sa communauté étaient aussi entourés de l’affection et des prières d’autres communautés monastiques de Terre Sainte et spécialement celles qui vivent de la règle de saint Benoît ; les olivétains d’Abu Gosh, les moines de la Dormition, les bénédictines du Mont des Oliviers.
De nombreux religieux voisins s’étaient également unis à cette messe d’Action de grâces.
« Nous nous sentons partie intégrante de l’Église locale, a tenu à souligner le père Abbé à l’issue de la célébration, même si notre vocation nous met à part. Le monastère dit saint Benoît ne doit pas être une église isolée, mais au cœur de l’Église. Et c’est bien ce que nous voulons être, au cœur de cette Église que nous aimons, un foyer de prière. »
Les quatorze moines de Latroun sont non seulement des hommes de prière, mais aussi des hommes de labeur. Dans la plus pure tradition cistercienne, les frères vivent du travail de leur main : miel, huile d’olive et le réputé domaine viticole de Latroun.
Les Trappistes sont des moines cisterciens, appartenant à la grande famille monastique qui se réfèrent à la Règle de saint Benoit dont ils forment une branche réformée.
Texte et photos de MAB